La migraine

Migraines

La migraine se caractérise par une douleur intense qui affecte habituellement un seul coté de la tête. Elle survient sous forme de crise et s'accompagne de nausées. 

Ma force vitale en est réduite. J'ai tendance à me retirer dans mon coin au lieu de participer pleinement à ma vie. Les migraines sont aussi souvent associées à des troubles de vision et de digestion: je ne veux plus voir et je ne veux plus digérer ce qui se passe dans ma vie. Ce sont des angoisses, de la frustration face à une situation où je suis incapable de prendre une décision. Je peux avoir le sentiment de quelque chose qui doit être fait ou réalisé ou qui m'est demandé. La migraine apparaît souvent après avoir vécu une contrariété. Un changement dans mon rythme de vie impliquant une difficulté d'adaptation de ma part peut aussi générer une migraine (comme par exemple la migraine du week-end). Elle expose ma résistance reliée à mon incapacité d'accomplir ce qui m'est demandé. Ma tête "surchauffe" et me fait juste à l'idée du but à atteindre qui me semble inaccessible. Ma tête ressemble à un "presto" , la pression étant tellement forte que je ne sais pas toujours quelle solution ou quelle attitude adopter. La pression peut venir de mon désir d'être hyper-responsable et/ou performant, surtout au travail. Je peux être passionné par un sujet et avoir de la difficulté à m’arrêter. Il y a conflit entre mes pensées , mon intellect qui est surchargé, mes besoins et désirs personnels. Est ce que je me sens à la hauteur ou ai-je l'impression d'être incompétent, surtout sur le plan intellectuel? Pourquoi m'en vouloir ou vivre autant de haine ( migr-haine)? Je me sens sous surveillance constante: quand ce ne sont pas les autres, c'est moi qui surveille tout et qui veux tout contrôler dans ma vie. On se "paye ma tête" et j'en perds la tête! En retournant constamment mes problèmes dans ma tête, j'en viens à oublier que j'existe, que j'ai des émotions qui demandent à s'exprimer. J'ai tendance à nier la réalité et cela augmente grandement mon niveau de stress. Je dois prendre conscience que je suis en train de fuir ce qui me dérange ou que je sens de l’incompréhension et un manque d'amour de la part de quelqu'un. Il est important que j'identifie quelle est l'émotion que je dois refouler ou la situation dont je veux tellement oublier l’existence et qui crée une tension aiguë et constante à l'intérieur de moi, provoquant la migraine. Les migraines peuvent aussi être liées à des problèmes sexuels, tels le refoulement depuis l'enfance , qui refont surface. C'est comme un combat à l'intérieur de moi qui se déroule entre mes pensées et ma sexualité, cela me monte à la tête. Je peux avoir l'impression que c'est comme si ma tête allait éclater. Je peux aussi me poser des questions face à l'identité de mon père, que ce soit d'une façon consciente ou inconsciente. Mes structures de vie demandent à être adaptées à ma situation présente mais il est dur de laisser aller ce qui est familier pour s'en aller vers l'inconnu. Lorsque la migraine est localisée au niveau du front, je me demande face à quelle situation je me sens diminué, impuissant. J'ai besoin d'être plus performant, de trouver une solution je me sens limité dans mes capacités, particulièrement les capacités intellectuelles. Je dois comprendre que, lorsque j'ai une migraine, j'ai une prise de conscience à faire, j'ai des choses à changer, c'est à dire de passer à l'action. La migraine me donnant un temps d'arrêt, cela peut aussi être une façon d'obtenir davantage d'amour et d'attention.

J'accepte de regarder la réalité en face. Je laisse les événements circuler librement dans ma vie et je reçois en retour joie, paix, harmonie. En étant plus flexible et compréhensif envers moi-même, je me sens plus léger et je peux m'envoler comme une montgolfière

La constipation

La constipation

La constipation prend place à l’intérieur de l'intestin lorsque les mouvements musculaires qui permettent l'élimination se font ralenti, ce qui provoque un engorgement des déchets.

Ces déchets ne sont que la manifestation physique de mes idées noires, de mes préoccupations, de ma colère, de la jalousie qui m'encombrent. La constipation est souvent associée à une diète pauvre en fibres alimentaires. Cela est l'indication d'une grande volonté de contrôler les événements de ma vie, qui résulte d'incertitudes et d'une insécurité intérieure. Je suis une personne très troublée qui a besoin de l'approbation des autres. Je peux vivre une obsession des détails ayant besoin de tout vérifier plusieurs fois pour me sécuriser que tout est "sous contrôle". Cela m'amène à me questionner sur mon identité face aux gens qui m'entourent, à ma place dans la société. Par mon insécurité, je suis même porté à être mesquin et égoïste. Les situations favorisant la constipation peuvent se produire lorsque j'expérimente une situation financière difficile, lorsque j'ai des relations conflictuelles ou lorsque je pars en voyage, car c'est la ou je vis une dualité entre "je veux partir" mais en même temps "je ne veux pas partir". L'inconnu me fait peur. Je m'accroche à mes vieilles idées et à mes biens  personnels. Ce peut être une personne que je veux retenir. Ce que je connais déjà me permet un certain contrôle et me donne l'illusion de sécurité. Je retiens le passé duquel je me sens un lamentable esclave. Je ne me sens pas à la hauteur, impuissant à changer certaines situations et cela "me fait chier". J'ai tellement peur d'être jugé que je refoule ma spontanéité, je m’empêche d'avancer. Je refoule aussi mes "problèmes" et mes émotions passés, de peur qu'ils ne refassent surface et que j'aie à y faire face. Je vis sous pression. Je me sens coincé dans une situation et cela m’emmène à me crisper. J'ai tendance à faire des réserves de peur du manque de matériel. Si je suis un enfant, puisque le fait de retenir mes selles démontre un certain contrôle ou pouvoir, rendu adulte, je peux vouloir faire la même chose, même inconsciemment, en signe de défi face à l'autorité en général. Quand me suis je permis de prendre ma place et d'être moi même? Quelle est la dernière fois ou je me suis senti libre et plein d'entrain? Qu'est ce qu'il me retient? Pourquoi cette pudeur à aimer, à me retenir de donner ou à me donner, tant au niveau des relations amicales qu'affectives? Pourquoi toute cette culpabilité?

J'accepte de devoir absolument laisser aller tout ce qui ne me convient plus, de lâcher prise. J'accepte ici et maintenant de me libérer du passé, d'aller de l'avant et de vivre une vie plus excitante. Je me sens beaucoup plus détendu car je fais confiance à la vie.